Architectonie ALFA : Différence entre versions
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| − | Ce perférent concerne la modélisation algorithmique | + | Ce perférent concerne la modélisation algorithmique<ref>pour ensembles ordonnés et finis d'opérations</ref> et agorithmique <ref>pour agories en émergences interactives</ref> d'ALFA, tant humanique<ref>humanumique : comportement naturel de l'homo sapiens sapiens </ref>, humanistique<ref> humanistique : comportement des objets produits par l'homme. </ref> qu'humanumérique <ref> humanumérique : comportement sociétal humain étendu par le "plus machina". </ref>. |
;Rappel de l'architectonie ALFA : Tout est relation homéodynamique entre cadres de références de l'interligence des agories concrètes et abstraites des existants, mnèmes, habitus et libertés. Le dynamisme de ce tout résulte du capax de ses agories, c'est à dire de leur capacité (autocatalytique ?) d'évolution néguentropique opposée par leur déperdition entropique. Le temps y est la succession des mouvements concrets et la pensée celle des mouvements abstraits. Selon le principe de moindre action, tout y va à ce qui a été rendu premier possible | ;Rappel de l'architectonie ALFA : Tout est relation homéodynamique entre cadres de références de l'interligence des agories concrètes et abstraites des existants, mnèmes, habitus et libertés. Le dynamisme de ce tout résulte du capax de ses agories, c'est à dire de leur capacité (autocatalytique ?) d'évolution néguentropique opposée par leur déperdition entropique. Le temps y est la succession des mouvements concrets et la pensée celle des mouvements abstraits. Selon le principe de moindre action, tout y va à ce qui a été rendu premier possible | ||
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Version du 2 avril 2021 à 11:10
Ce perférent concerne la modélisation algorithmique[1] et agorithmique [2] d'ALFA, tant humanique[3], humanistique[4] qu'humanumérique [5].
- Rappel de l'architectonie ALFA
- Tout est relation homéodynamique entre cadres de références de l'interligence des agories concrètes et abstraites des existants, mnèmes, habitus et libertés. Le dynamisme de ce tout résulte du capax de ses agories, c'est à dire de leur capacité (autocatalytique ?) d'évolution néguentropique opposée par leur déperdition entropique. Le temps y est la succession des mouvements concrets et la pensée celle des mouvements abstraits. Selon le principe de moindre action, tout y va à ce qui a été rendu premier possible
- soit par sédimentation et attrition des mnèmes, soit par libre choix à partir
- des sapiences acquises,
- de l'intellition situationnelle
- et/ou de la compréhension des enjeux,
- soit par auto-organisation critique en cas d'aporie (singularité) au sein des arborescences causales perméables (perligence).
Le but est ici d'ajuster et valider cette architectonie, par l'examen de l'exégèse qui peut en être faite, pour en valider - après ajustement éventuel - les termes compte tenu de ses réfutations possibles et en décrire des cadres et modèles de pensée et d'action.
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- ↑ pour ensembles ordonnés et finis d'opérations
- ↑ pour agories en émergences interactives
- ↑ humanumique : comportement naturel de l'homo sapiens sapiens
- ↑ humanistique : comportement des objets produits par l'homme.
- ↑ humanumérique : comportement sociétal humain étendu par le "plus machina".
